Transfuge, la revue de "littérature et cinéma", en présentation, qui fait sa couv[erture] ornementée de son auguste visage sur J.C. Milner, sa main droite esquisse un mouvement, d'appel il lèverait le doigt à un serveur sartrien, ou las et amer et amusé signalement en direction du Ciel vide, des arrières-mondes inexistants, ou de dépit, d'impuissance : qu'y puis-je? qu'en sais-je? que venez-vous me faire suer?..., s'interroge ou médite, en ce mois de mars, datée du 28 exactement, sur l'origine du génie de Kafka, c'est "la question" cette rubrique, ce tiroir : "l'oeuvre de Kafka est moins un désenchantement du monde qu'une bureaucratisation du ciel" (Joseph Vogl, Kafka and the Law), la lumière fore et perce et troue et des étincelles surgissent, la pluie s'en est allée, matinale, comme une pendule suisse, (ce sont de "superbes portes-manteaux" qui défilent) long grognement froissé de sac en plastique que l'on remplit de livres et cris des mouettes par les vélux entrebaillés se succèdent, "on peut moduler" peut-on entendre,
mardi 10 mars 2009
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