Hobo (pl hobos or hoboes) N Am Fam 1 (tramp) clochard(e) m, f, vagabond(e) m, f 2 (itinérant labourer) saisonnier(ère) m, f.
Un Hobo, mot anglais ou plus exactement américain, lié à la réalité historique des États-unis des années 1930, désigne un Sans Domicile Fixe se déplacant de ville en ville le plus souvent en se cachant dans des trains de marchandises et vivant d'expédients.
Ce mot pourrait trouver comme traduction en français : vagabond et plus précisément chemineau (ou cheminot, mais à ne pas confondre avec l'employé du chemin de fer) sans avoir cependant de véritable équivalent dans la culture française. Son étymologie n'est pas certaine. Certains s'accordent pour dire que hobo est la contraction de homeless bohemia, d'autres affirment qu'il s'agirait plutôt de Houston Bowery.
Pendant la grande dépression, les « hobos ou hoboes » sont des travailleurs itinérants qui sillonnent les états en quête de petits boulots et de bonnes combines. Ils sont un des résultats des changements profonds qui affectent la société américaine du début XXe siècle (industrialisation, urbanisation) et tentent de fuir la misère provoquée par la crise.
Ils voyagent par la route mais aussi dans les trains de marchandises dans lesquels ils montent clandestinement. L'image du hobo est d'ailleurs inséparable de celle du train. Beaucoup de hobos se retrouvent le long des principales lignes ferroviaires dans des points d'accueil plus ou moins improvisés. Ils peuvent alors échanger des informations sur les régions où trouver de l'emploi et mener une vie stable.
Quand ils ne se parlent pas de vive voix, les hobos laissent des symboles dessinés à la craie ou au charbon. Ce système de symboles a pour but d'informer ou d'avertir les autres (endroits pour attraper un train pour dormir, présence fréquente de la police, repas chauds, chiens dangereux, etc.).
Le hobo est par la suite devenu une figure mythique de l'imaginaire américain. C'est un personnage teinté de romantisme, épris de liberté, développant la faculté de survivre en dehors d'une société aliénante dont il n'a pas à subir les contraintes. Le hobo apparait ainsi en premier plan dans les écrits de Kerouac.
Ce mot pourrait trouver comme traduction en français : vagabond et plus précisément chemineau (ou cheminot, mais à ne pas confondre avec l'employé du chemin de fer) sans avoir cependant de véritable équivalent dans la culture française. Son étymologie n'est pas certaine. Certains s'accordent pour dire que hobo est la contraction de homeless bohemia, d'autres affirment qu'il s'agirait plutôt de Houston Bowery.
Pendant la grande dépression, les « hobos ou hoboes » sont des travailleurs itinérants qui sillonnent les états en quête de petits boulots et de bonnes combines. Ils sont un des résultats des changements profonds qui affectent la société américaine du début XXe siècle (industrialisation, urbanisation) et tentent de fuir la misère provoquée par la crise.
Ils voyagent par la route mais aussi dans les trains de marchandises dans lesquels ils montent clandestinement. L'image du hobo est d'ailleurs inséparable de celle du train. Beaucoup de hobos se retrouvent le long des principales lignes ferroviaires dans des points d'accueil plus ou moins improvisés. Ils peuvent alors échanger des informations sur les régions où trouver de l'emploi et mener une vie stable.
Quand ils ne se parlent pas de vive voix, les hobos laissent des symboles dessinés à la craie ou au charbon. Ce système de symboles a pour but d'informer ou d'avertir les autres (endroits pour attraper un train pour dormir, présence fréquente de la police, repas chauds, chiens dangereux, etc.).
Le hobo est par la suite devenu une figure mythique de l'imaginaire américain. C'est un personnage teinté de romantisme, épris de liberté, développant la faculté de survivre en dehors d'une société aliénante dont il n'a pas à subir les contraintes. Le hobo apparait ainsi en premier plan dans les écrits de Kerouac.
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